0-3 ans : S'attacher

Mon enfant dort mal mais elle va bien, merci.

Il y a quelques semaines nous avons vu un kinésiologue pour le sommeil de Melle Carrousel.

Depuis, elle dort mieux !

Depuis, nous avons eu des nuits complètes sans un seul réveil, ce qui n’était plus arrivé une seule fois depuis 10 longs mois : la magie de se réveiller quand filtrent les premiers rayons de soleil du matin par les volets entrouverts et de se rendre compte qu’on dort depuis la veille au soir sans interruption…

Mais ce n’est pas toujours vrai ; parfois oui et on prend sans se poser de question, juste avec bonheur. Parfois non, et on prend aussi sans se poser de question, juste avec patience et habitude.

 

Mademoiselle Carrousel a 26 mois et demi.

Pendant ces 26 mois et demi nous avons eu…

Des nuits entrecoupées de réveils toutes les 2, 3, 4 heures pour téter, rendormie béatement sans effort.

Des nuits entrecoupées de réveils toutes les 2, 3, 4 heures pour téter, rendormie à la force de nos bras, de nos chansons, de notre patience, les yeux fixés sur les réverbères des jardins voisins pour ne pas s’endormir.

Des nuits entrecoupées de sommeil par-ci par là, au milieu d’heures de pleurs inconsolables, incompris, inexpliqués. Des heures subies à attendre la suite, la fin, la prochaine fois.

Des nuits avec un seul réveil rassuré par un simple bisous déposé entre deux yeux encore pleins de sommeil.

Des nuits avec un seul réveil rassuré par quelques minutes de présence à côté de son lit.

Des nuits avec un seul réveil rassuré par une petite chanson murmurée à son oreille.

Des nuits avec un seul réveil qui n’a pu être rassuré que par une fin de nuit partagée.

Des nuits avec quelques cris poussés en pleine nuit, qui m’ont tiré en sursaut du sommeil mais qui n’ont pas eu à me tirer de la chaleur de mon lit ; c’est bon, c’était dans son sommeil.

Des nuits de maladie, son petit corps bouillant contre le mien, sa respiration sifflante contre mon oreille, quelques oreillers dans mon dos, un raie de lumière de salle de bain savamment dosé pour pouvoir la surveiller sans l’empêcher de se rendormir, ses bras autour de mon cou et ceux de papa Ours autour de ma taille. Unis comme on peut.

mon enfant dort mal

Des nuits avec deux, trois, quatre, cinq réveils, pour téter, pour boire de l’eau, pour changer sa couche, pour une tétine, pour un doudou, pour un câlin avec la poupée, pour venir avec papa et maman, pour « reste à côté de moi », pour une dent, une toux, un vomi, un pipi qui déborde.

Des nuits avec dix réveils en sursaut, en cris, en larmes, en panique,  au milieu d’un semi-sommeil sur-agité et de ses poings qui valsait.

Des nuits sans aucun réveil, un sommeil de plomb et des petites joues délicieusement rouges et chaudes au réveil.

Des nuits entrecoupées de 3 heures d’éveil passées à pleurer.

Des nuits entrecoupées de 3 heures d’éveil passées à me fixer de ses grands yeux bleus ouverts.

Des nuits entrecoupées de 3 heures d’éveil passées à jouer au milieu de deux parents qui comatent, coups de hochets sur la tête, jeux de dinette et puzzle à 2 h du matin.

Des nuits entrecoupées de 3 heures d’éveil passées à se tourner, se retourner, discuter, nous questionner, nous câliner. Des heures à attendre qu’enfin, elle attrape le prochain train.

Des nuits parfois terminées à 5 heure du matin, à la faveur d’un réveil nocturne un peu tardif qui lui fait prendre conscience qu’elle a assez dormi.

Des nuits souvent terminées à 6 heure du matin, parce que dormir c’est perdre son temps.

Des nuits toujours terminées au plus tard à 7 heure du matin, sans exception et peu importe les événements nocturnes.

Des nuits complètes dans son lit, parfois.

Des nuits complètes dans notre lit, parfois.

Des nuits à moitié dans son lit, à moitié dans le nôtre, beaucoup.

Des nuits à valser ; elle dans son lit, moi avec elle dans le sien, elle à côté du nôtre sur un matelas à même le sol, elle au milieu de nous, sur nous, sous nous, puis elle et moi enlacée dans un tout petit coin du grand lit et Papa Ours en boule sur le canapé.

mon enfant dort mal

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En deux ans, deux mois et deux semaines, on a eu (presque) toutes les configuration de nuits possibles. On a goûté pendant quelques mois, de ses 12 à 15 mois, au bonheur des nuits complètes de 20h à 6h. On s’est noyés pendant quelques mois, entre 8 et 12 mois, dans des nuits qui n’auraient même pas mérité le nom de siestes et j’en suis ressortie plus fragile que jamais. Avant, après, entre, depuis, on a connu et on connait des nuits en dents de scie, des nuits sereines et des nuits agitées, des nuits bof, des nuits pas trop mal, des nuits je ne sais plus, des nuits correctes, des nuits acceptables, des nuits pourries, des nuits en mode radar, des nuits ça aurait pu être pire, des nuits j’en ai ras le cul, des nuits géniales, des nuits tu crois que cette fois c’est la bonne, des nuits ah non j’ai parlé trop vite. Ah non, on a jamais connu l’excès de sommeil, l’enfant qui dort trop, qu’on a du mal à réveiller ; non, notre fille est une petite dormeuse, elle a besoin de peu dormir, elle est vite réveillée et elle est très matinale.

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On me demande si elle dort bien maintenant, je dis « oui maintenant ça va » et je ne sais pas si je mens ou pas.

Car non, on ne peut pas dire qu’elle dort 12h chaque nuit sans interruption comme les enfants « des autres ».

Car oui, maintenant ça va : ça va parce qu’on a l’habitude, parce qu’on n’attend plus autre chose d’elle que ce qu’elle nous donne.

Parce que mon corps est habitué, parce que je sais qu’il supporte le manque de sommeil jusqu’à assez loin comparé à d’autres, parce que je sais qu’après la pluie vient le beau temps (et inversement).

Je prends les choses comme elles viennent, je ne me demande plus pourquoi ni quoi faire pour améliorer les choses durablement ; j’attends que le temps fasse son œuvre.

Et surtout, parce que je suis maintenant convaincue à 100% qu’il n’y a pas de norme, de normalité, de règle pour le sommeil des enfants ;  pour certains c’est simple pour les parents, pour d’autres c’est très compliqué, au milieu c’est souvent mitigé. Et que pendant les premières années, rien n’est acquis définitivement ; le moindre événement, positif ou négatif, la plus petite acquisition, le plus léger des changements et même simplement le temps qui passe peut, pour certains enfants, gripper la machine.

Les enfants vont bien, ils n’ont pas un problème à régler la plupart du temps et dans tous les cas il n’y a rien à leur apprendre de force. Pendant longtemps j’ai perdu trop d’énergie à me demander pourquoi, à penser que ma fille avait un problème et moi avec, en partie parce que, pour sa santé, je pensais qu’elle devait dormir autrement, que son sommeil n’était pas suffisant, pas correct, pas comme il fallait pour son âge. Aujourd’hui j’ai compris que, tant que j’offrais les conditions favorables à un sommeil de qualité, elle prenait de son côté ce dont elle avait besoin ! Et bien-sûr quand je vois où elle en est de son développement, je suis rassurée sur sa santé 😉

Certains enfants ont besoin de plus de sommeil que d’autres, en heures réparties différemment d’un enfant à l’autre, certains ne sont pas fatigués le soir avant tard, d’autres sont en pleine forme aux aurores, certains ont besoin d’une grosse sieste, d’autres préfèrent se réserver pour la nuit…  comme nous, les adultes non ? En tant que parents, ce qui est de notre ressort, c’est de proposer un cadre et des conditions favorables pour un sommeil stable et de qualité ; mais c’est aussi notre rôle d’être à l’écoute de nos enfants pour proposer des choses qui leur conviennent, sans imposer le rythme qui nous conviendrait à nous !

Ce sont les parents qui peuvent souffrir effectivement du sommeil de l’enfant « différent » et qui doivent trouver les recettes qui leur conviennent pour survivre et se préserver. A chacun de trouver sa  son équilibre familial et pour certains cela passera par imposer des choses à ses enfants sur le plan du sommeil, selon ses limites, ses besoins personnels, ses contraintes, etc. C’est légitime, le sommeil est une question à la fois tellement cruciale et personnelle que personne ne devrait dire à qui que ce soit d’autre comment gérer le sommeil familial.

Mais ce n’est pas parce que ma fille ne dort pas chaque nuit dans son lit, toute la nuit, sans m’appeler, qu’elle va mal et que nous avons un problème. Et je ne laisserai plus personne me persuader du contraire. Elle a un sommeil normal de petit mammifère, avec un sommeil entrecoupés de réveils qui ont parfois/souvent besoin d’être accompagnés et j’ai choisi de l’écouter jusqu’à ce qu’elle soit entièrement capable de sa rassurer seule. Je sais que ce jour viendra naturellement, tout seul, dans quelques mois, quelques années. Je sais que cela aurait été plus simple pour moi si j’avais fait autrement, le temps est long parfois, mais je suis en paix avec mon choix depuis que j’ai compris que le sommeil haché de ma fille n’est pas le signe qu’elle va mal.

 

Elle ne dort pas très bien, mais elle va très bien, merci.

Et moi aussi, car nous avons trouvé nos recettes à nous pour nous préserver malgré un sommeil très différent de ce qu’il était avant d’être parents et que je ne lutte plus (sauf quand je rencontre des parents d’enfants qui dorment ultra bien depuis toujours et qu’ils trouvent le moyen de se plaindre d’un réveil exceptionnel, là je lutte pour ne pas les étrangler 😉 ).

Reste à savoir quel numéro nous avons tiré à la loterie de sommeil pour Bébé Sœur (et je mentirai si je disais que je n’aimerais pas voir ce que ça fait d’avoir une bonne dormeuse*!) et quels ajustements nous allons devoir faire à nos recettes pour réussir notre équilibre à 4… Bref, on en reparle 😉

 

 

*Pour la petite anecdote, j’étais moi-même une excellente dormeuse, du genre à faire rager les copines de ma mère ; nuits complètes acquises à 5 semaines et seulement perturbées très exceptionnellement, jusqu’à 6 mois je pouvais dormir 5 heures d’affilé pour mes siestes, je m’endormais partout, avec n’importe qui, dans n’importe quelles conditions, mes parents pouvaient m’emmener avec eux en soirée et me coucher au milieu du bruit, me remettre dans la voiture puis dans mon lit sans me réveiller… Autant vous dire que ma mère m’a bien vendu du rêve quand on parlait maternité, et que j’ai pris une bonne claque dans la tronche à la naissance de Bébé Carrousel 😉 😉

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Voyez comme ils ont l’air de péter le feu ? 😉

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

35 réflexions au sujet de « Mon enfant dort mal mais elle va bien, merci. »

  1. C’est l’article idéal à lire au petit matin, quand ton bébé de 6 mois, qui faisait partie jusqu’à il y a un mois de ceux qui dorment avec un grand plaisir et longtemps, et qui dort maintenant d’un sommeil haché menu, comme un nourrisson, entrecoupé de tétées toutes les deux heures….mais qui se rendort comme un ange, sur moi avec quelques tentatives parfois avortées de la remettre dans son lit au sol près du notre. Poussée de croissance des 6 mois ? Déménagement du moment ? Besoin de maman ? Mais ouf, ton article me conforte (un peu plus) dans mes convictions: se faire confiance, elle va bien, on en parlera à l’ostéo et un jour, peut-être cela passera….

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    1. Je pense quand même que tu as de bonnes pistes a ce revirement (déménagement, pic de croissance… Et bientôt angoisse de séparation !!!).mais effectivement au final la raison importe peu, la conséquence est la même : atendre que ça passe en trouvant l’énergie pour rassurer, sans trop se perdre…. Jusqu’a la prochaine phase « haute » 😉 bon courage !

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  2. Moi j’ai deux garçons de 13 et 10 ans. Le premier a été dès son premier jour de vie un bébé de rêve (comme dans les pubs) genre il dormait toute la nuit à deux mois, bref il a toujours très bien dormi….et encore aujourd’hui c’est comme ça! Il va se coucher tout seul à 21.00 et s’endort en 5 minutes pour se réveiller le lendemain frais comme une rose.
    Le deuxième est comme Mademoiselle Carousel: le sommeil c’est pas son fort, il dort très peu (6 heures max) et parfois (ou souvent ça dépend des périodes) mal…. Mais quand il est réveillé c’est un enfant en pleine forme et de bonne humeur. Il est très sportif et il a un énorme besoin de bouger!
    Bref….tout ça pour vous dire que j’ai le recul suffisant pour vous rassurer: le sommeil fondamentalmente c’est une question de caractère et de tempérament de l’enfant. Biensûr il y a des phases de croissance, la maladie, les dents etc…. Mais il faut se résigner, il n’y a pas de recettes magiques…c’est un peu une lotterie!
    Bonne chance à toi pour la 2ème!

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  3. Dans ton article, j’ai surtout flashé sur le premier paragraphe car tout le reste, je connais parfaitement…
    Poucet 15 mois a aussi son propre rythme depuis sa naissance. En ce moment, il se couche vers 20h-20h30 dans son environnement normal.
    Nuit de samedi soir : biberon 23h, réveil-tétine 2h, réveil 5h55.
    Dimanche soir : réveils-tétine 22h, minuit, biberon 2h, réveil-tétine 4h, réveil 7h.
    Lundi soir : réveils-tétine 23h, 2h, réveil 5h25.
    En ce moment il dort plutôt bien, car les réveils nocturnes ne durent jamais plus de 20 min. De notre côté, on s’est pas trop mal adaptés. On profite de ce type de période « calme » pour « récupérer ».
    Pour la prochaine période compliquée (réveils qui durent 1h en pleurs,….) je suis preneuse de ton adresse de kinésiologue !

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      1. Bonjour, je recherche un kinésiologue sur Paris pour mon fils.
        Peux-tu donner les coordonnées ? Je t’envoie un message sur ton email.
        Merci d’avance !

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  4. Bonjour,
    Je me lance à commenter ton blog que je suis avec attention depuis quelques semaines, et que j’adore !! Merci pour tes articles si justes, et qui font écho à ce que je pense ou ressens, sans savoir toujours comment l’exprimer…J’ai fait lire l’article sur la figure principale d’attachement à tous ceux qui me disaient « je comprends pas pourquoi ton fils est si difficile avec toi, avec moi il est a-do-ra-ble » !
    Encore une fois ton article du jour me parle beaucoup…Mon premier garçon qui a 4 ans aujourd’hui dort comme une marmotte depuis ses 3 mois, 12h par nuit voire plus, des levers à 9h le week-end, des siestes de 2-3h jusqu’à 3 ans, des couchers du soir emballés en 15 min…Confiants et en forme, on a fait un petit 2ème…Et là le drame du sommeil, j’aurais pu écrire ton article !! Aujourd’hui mon cadet a presque 25 mois et la situation est toujours assez chaotique même s’il y a du mieux, petit à petit. La seule différence avec toi c’est qu’à mon grand dépit, mon mari a toujours refusé le cododo…Alors parfois quand le réveil est vraiment trop matinal je vais me rendormir sur le canapé avec mon fils !
    Au bout du rouleau, le couple au bord du craquage, on a un peu tout tenté (l’homéo, l’ostéo, même la pédopsy !) : seul l’ostéo a eu un effet positif, mais jamais plus de quelques semaines. Ca m’intéresserait de savoir comment se passe une séance de kinésiologie avec un enfant de cet âge…
    En tous cas je te souhaite d’avoir un 2ème bébé qui dort, c’est sûr que c’est une toute autre façon d’être parent 🙂

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    1. En fait la kinésiologie part du principe que « notre corps peut parler » et qu’il a une mémoire; il interroge le corps du patient pour repérer d’éventuels traumatismes qui restent ancrées dans le corps.. On peut donc le consulter pour toutes sortes de choses et ça marche notamment bien pour le sommeil des bébés.

      Pour un bébé/un enfant, il procède par transfert ; il interroge le corps du parent pour le compte de l’enfant (ça semble assez ésotérique oui!).

      Dans notre cas, il a repéré que Melle Carrousel avait énormément d’angoisse due à sa naissance, qu’elle avait ressenti beaucoup de peur et un sentiment de s’étouffer à cause de son cordon autour du cou, il a donc travaillé sur ce vécu qui pouvait expliquer qu’elle se reveille très longuement la nuit, par peur d’étouffer, puisque à sa naissance elle a vécu de sentiment d’étouffement quand elle était dans le noir et qu’il s’est résolu quand la SF l’a liberée, donc quand il faisait « jour ». Voilà pour notre expérience, 1 semaine après le RDV elle s’est mise à faire des nuits complètes de façon régulière, alors que ce n’était plus arrivé depuis des mois et des mois.

      Je ne sais pas si je réponds bien à ta question ???

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      1. Bonjour Happynaiss, étant Kinésiologue spécialisé (oui il y a plusieurs écoles/courant dans le domaine de la kinésiologie) et jeune papa je me permets de rebondir quant à votre commentaire.

        Vous l’expliquez bien, la kinésiologie est une méthode de gestion cognitive du stress, elle permet de lever les blocages/traumatismes émotionnels cachés derrière un mal être récurrent.
        Chez les enfants, cela marche plus facilement car ils n’ont pas cet écran/filtre que les adultes possèdent (réticence, socio-culturel…).
        Nous procédons par transfert en interrogeant la maman/le papa (quelqu’un ayant un lien fort avec l’enfant) et nous déroulons un protocole d’interrogation par le test neuromusculaire (le corps du consultant nous indique ce qui génère du stress – il n’y a aucune ambiguïté ou interprétation de la part du praticien).
        Le problème de sommeil/insomnie en psychosomatique est souvent lié à un de ces 3 facteurs :
        -veille d’un mort de la famille inconsciemment
        -peur de mourir (comme votre enfant – suite à un traumatisme lié à la naissance)
        -éveil spirituel (nous restons éveillé la nuit afin d’entreprendre ce que nous ne pouvons faire le jour – envie cachée aux yeux de tous).

        La kinésiologie est une méthode merveilleuse car elle nous donne des pistes qui sont enfouies dans notre inconscient et permet de résoudre/lever ces problématiques brièvement.

        Je vous souhaite le meilleur avec vos bouts de choux.

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      2. Merci pour ta réponse détaillée, c’est très intéressant ! Je vais voir ce que je trouve comme praticien autour de chez moi.

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  5. Vis ma vie…Ça fait tellement de bien de se retrouver dans vos écrits.
    Mon enfant a 23 mois et toutes nos nuits sont décrites dans votre article, les bonnes les moins bonnes les affreuses les pas trop mal et les je ne sais plus…😊
    Au final ce que je retiendrais c’est toujours cette pression des autres qui voudraient que notre enfant soit « normal », mais normal selon qui et quelles régles ? Et surtout que si on écoute notre petit bout et qu on essaye de l’accompagner et de le suivre plutôt que de lui imposer tout se passe toujours mieux.
    Chez nous ma soeur a un petit facile pour le sommeil et gros dormeur et moi un petit au sommeil sans règles. Pour moi ce n’est pas grave un jour ca ira mieux…! 😊
    Et comme vous le dites si bien tout change très vite et sans prévenir alors carpe diem.
    Bon courage pour la suite 😉

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  6. Nounours, huit mois, bébé adorable qui fait des bisous et des calins mais qui a un mal de fou à s’endormir. Les siestes sont une bagarre sans fin, la nuit c’est compliqué, et quand on me demande « c’est quoi ses horaires de bibi et de siestes », je fais des yeux ronds comme des billes. Bah on a un bébé qui a besoin de dormir, mais qui ne dort pas. On forme un beau trio pas fatigué du tout mdr!! Après il grandit, se développe, est super éveillé, apprend plein de trucs… Alors quand on me demande s’il dort et mange bien, je dis « oui oui, y’a des bas de temps en temps mais bon… C’est comme nous, les bébés ne sont pas des robots après tout » et mon interlocuteur est obligé d’acquiescer. Puis je brandis mon marmot qui, tout sourire, tend évidemment les mains pour entrer en contact. Ca calmerait n’importe qui! ^^
    Bref, big up sista t’es pas la seule dans la galère du bébé qui fait pas dodo pas dodo pas dodo! 😉

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  7. Bonjour ! Je laisse un commentaire pour la 1ère fois… Merci pour ces articles qui me parlent énormément, m’inspirent, me soulagent… Sur cet article que je trouve très intéressant, je ne peux m’empêcher de réagir. Le sommeil….(soupir… 😉 Mes deux filles ont fait leurs nuits tôt (6 semaines). L’aînée a commencé à faire des réveils multiples vers 18 mois je crois (3-4 par nuit). Elle faisait très peu de siestes depuis sa naissance, n’a visiblement pas besoin d’énormément de sommeil. Depuis cet âge environ (elle a 6 ans et demis aujourd’hui), elle a beaucoup de difficultés à s’endormir le soir. Pour les réveils nocturnes, il y a des phases avec et sans. Je ne me plains pas, je reste rarement longtemps éveillée (sauf maladie), mais les réveils brusques (elle crie) pendant mes phases de sommeil profond, chaque nuit ou presque pendant des années, ont eu raison de mon équilibre…. Aujourd’hui, la petite deuxième, 2 ans et demis, plutôt grosse dormeuse depuis sa naissance, a également des difficultés pour s’endormir. Heureusement elle se réveille peu. Le soir, aucune ne dort avant 22h, parfois 23h. Chaque soir, les sollicitations se répètent à l’infini. Je le vis très mal. Je suis plutôt du matin, j’ai un état de fatigue accumulée depuis des années, et après 21h j’ai besoin de me retrouver un peu, même si je dois faire des choses utiles (linge etc.), j’ai besoin de ne plus être sollicitée. Contrairement à toi, je n’arrive pas à ne plus chercher « la cause du problème ». Serait-ce la solution ? Je le vis mal parce que je me sens très fatiguée, mais aussi parce que je pense que cet état de fait traduit une angoisse de leur part. En fait, je ne sais plus… Et je ne vois pas de solution. Je précise que c’est toujours moi qui me lève la nuit depuis le début. Mais c’est le cas de plein de mamans…

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  8. Bonjour et encore merci mon fils a 16 mois et je n ai pas eu une nuit complète depuis 16 mois . Tu as écris ce que j ai pu ressentir, pensée . Est ce normal ? Mais qu est ce qu il a ?
    Je suis entourée de bébés qui font leur nuits et je me demande à chaque fois qu est ce que j ai fait ou pas pour que le mien de dorme pas
    Mais tu m as tellement rassurée et je me reconnais tellement.
    Je suis intéressée également par les coordonnés de ton Kine
    Merci merci merci

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  9. Tu as bien raison !!! Que j’adore lire ton blog ❤ De notre côté, les nuits complètes sont venus quelques temps avant les 3 ans de Chouchou… je n'avais jamais connu ça, incroyable !!! ne plus être réveillé la nuit !!! Bon c'était arrivé 2-3 fois par-ci par-là mais un peu comme des hasards sauf que là ça y est c'est venu ! et c'est resté… depuis plus de 3 mois maintenant !!! Et comme, depuis, nous avons eu l'occasion plusieurs fois de dormir ensemble en vacances dans des grands lits, j'ai pu constater que Chouchou dort d'une traite, il n'y a plus de réveils nocturnes… Son rythme de sommeil a donc changé à l'aube de ses 3 ans 🙂 c'est venu aussi avec l'acquisition de la "propreté" aussi, le fait de moins faire pipi la nuit, d'être moins dérangé… tout est venu ensemble !!! et moi qui m'étais tellement questionné, comme toi, et sur mon rôle là-dedans, et sur sa santé, mais en fait bien-sûr je savais au fond de moi qu'il allait – et qu'il va toujours – très bien, que c'était comme ça, je finissais toutes les nuits avec lui, il avait souvent besoin de ma présence pour s'endormir, et bien voilà c'était comme ça et je lui offrais ça ! parce que je suis sa maman, parce que je l'accompagne dans ses apprentissages et que je suis là pour lui. Moi aussi j'avais trouvé des parades pour ne pas être un zombie avec tous ces réveils nocturnes sur le long terme…. En tout cas, merci encore pour tous ces articles, c'est un vrai bonheur qu'il y ait quelqu'un comme toi sur "la toile" ! Plein de bonheur pour vous 4 !!!! 🙂

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  10. Je me reconnais également très bien dans ton témoignage. Mon bébé, 19 mois a également le sommeil très sensible et variable. Il lui arrive de faire des nuits complètes depuis ses un an, mais ce n’est pas régulier et il alterne bien souvent avec les nuits hachées. Par exemple il peut très bien dormir de 20h-30 à 7h30 , mais aussi s’endormir vers 20h30, se réveiller à 23h (se rendormir facilement), puis se réveiller à 2h du mat pour seulement se rendormir avec nous à 6h du mat, et là, il lutte vraiment pour dormir, n’accepte que les bras mais impossible de le poser même entre nous. C’est difficile lorsque l’on travaille le lendemain, on n’a pas tous la même résistance au manque de sommeil. Je suis assez patiente, calme, je suis plutôt comme toi, à laisser le temps au temps, accompagner notre enfant en douceur. Mon mari a beaucoup plus de mal, est plus fatigué, me reproche de manquer de fermeté, de lui donner de mauvaises habitudes… c’est compliqué. Lorsque bébé dort bien, l’harmonie est au rendez-vous, mais lorsqu’on enchaîne les nuits courtes, il y a plus de tensions. On ne le laisse pas pleurer, on l’accompagne dans son sommeil, c’est un bébé qui a besoin d’une présence à ses côtés pour s’endormir. Il ne s’endort jamais seul à part chez la nourrice lorsque son camarade partage sa chambre. On attend bébé 2 et j’appréhende beaucoup la gestion du sommeil de nos 2 enfants.

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  11. Bonjour… comme d’habitude… tu écris ce que j’aurais pu écrire…
    c’est toujours aussi agréable (de se sentir comprise!) mais aussi perturbant (n’aurions nous pas la même vie?!!)
    oui, je crois fondamentalement que chaque enfant (et humain!) est différent
    seulement, les langues sont nouées… j’ai remarqué que dès que je parle de ce sujet tabou ouvertement, finalement mais amis me font la confidence que ce n’est pas aussi parfait ou que leur enfant dort avec eux…
    j’ai même des amis qui me l’ont avouée en m’indiquant qu’ils ne le disaient à personne par peur d’être jugés. je leur ai dit, comment se sentent ils par rapport à leur décision? comment va leur enfant? BIEN! depuis, ils m’ont avouée qu’ils avaient osé répondre à leur famille qu’ils se sentaient justes face à cette décision et que ça leur allait… donc ça a clos le sujet, bravo!

    cependant, notre fils a aujourd’hui 29 mois (sevré complètement depuis 3 mois), dort toujours avec nous (car il fait des cauchemars presque toutes les nuits…) et avec notre fille qui a 7 mois
    je me demande comment elle va faire, réagir face au sommeil
    car elle tête encore la nuit…
    il dort tard (22h mais se réveille tard vers 8h30 et sieste 2h à 3H!)
    à la rentrée, je pense que tout va changer… avec l’entrée à l’école (rythme différent, réveil plus matinal, sieste moins longue…)

    >>> le fait ‘aller voir une kinésiologue, qu’en penses tu après coup?

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  12. Je crois que mes préférées sont celles-là : « Des nuits entrecoupées de 3 heures d’éveil passées à jouer au milieu de deux parents qui comatent, coups de hochets sur la tête, jeux de dinette et puzzle à 2 h du matin. »
    Zozio était très bon dormeur bébé (premier tour de cadran à deux mois), par contre passé un an les poussées dentaires notamment ont mis le boxon dans ses nuits et c’est resté très aléatoire pendant longtemps. Finalement, il n’y a que depuis qu’il ne fait plus du tout de sieste qu’il dort tôt (enfin, 21h30 max) et d’une traite jusqu’au matin (la plupart du temps). Avant ça, pour le coucher avant 23h c’était galère…
    Tizozio n’a pas du tout le même profil, il a fait par-ci par-là de « bonnes » nuits de 8 heures et plus, mais globalement toute la première année était consacrée à téter à n’importe quelle heure. Depuis quelques mois il fait parfois des séries de nuits confortables pour nous, mais souvent interrompues par des poussées dentaires ou des causes plus ou moins déterminées (« dormir ? hein ? nan mais attends j’ai pas fini de vider le carton de lego, j’ai pas le temps de dormir là !!! »).
    Tous les deux sont en parfaite santé, mais c’est clairement pour les parents que les irrégularités du sommeil sont néfastes !

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  13. C’est un article rassurant!
    Outre quelques mois exceptionnels, où j’étais enfin moins stressée de la mort subite et où mon fils était enfin traité pour son eczéma, avant la sortie des dents et pendant la découverte d’une turbulette assez lourde pour lui apporté du réconfort, on ne dort pas très bien non plus. J’ai repris le travail et non seulement je m’en veux, mais mon fils m’en veut aussi.
    Nous aussi, on a nos nuits avec et nos nuits sans. Oscar a 9 mois mais comme je ne dormais pas pendant ma grossesse (au point d’en pleurer parfois de frustration sur mon canapé le matin à 4h30, voyant l’heure défiler et qu’il faudrait bientôt que j’aille affronter mes horribles élèves de collège — ici USA tu peux courir pour que ton médecin t’arrête, même avec mon placenta praevia je suis allée travailler jusqu’à la fin), je dis que ça fait 18 mois que je ne dors plus. Ça commence à faire long, parfois je ne me souviens pas comment je suis arrivée au boulot le matin… Mais tout comme toi et ton mari, mon mari et moi sommes en paix avec notre choix de laisser Oscar nous guider dans ce qu’il a besoin LUI. Non, on ne le « farberisera » pas. Oui, on se lèvera, on le bercera, je chanterai 14 fois Pirouette cacahuète, je lui redonnerai le sein, mon mari lancera une série, on dormira au sol du salon, Oscar compensera avec une sieste le lendemain et moi je prendrai un café de plus. Mes collègues sont en majorité bienveillants et ont connu ces problèmes de sommeil; parfois ils proposent des astuces qui fonctionnent deux ou trois jours. Le pire, c’est mon beau-frère, dont le fils n’a pas dormi la 1ère année (mais qui dort maintenant de 19h à 6h). Il est très rapide à dégainer son jugement, à coups de « bah c’est pas bien pour son cerveau ce que vous faites! faut le coucher plus tôt ». Hum, certes.

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  14. Je me permets de laisser un message, même si je suis clairement de l’autre côté de la barrière. Non, je ne suis pas un bébé, je suis la maman d’une petite fille de 2 ans qui a fait ses nuits à 6 semaines, sans le moindre accroc depuis. Couché à 20h, endormie en 5 minutes, réveillée vers 8h, sieste de 2h l’après-midi. Celle qui a des problèmes de sommeil, c’est moi, depuis ses 1 an à elle!
    D’insomnies en crises d’angoisse, j’ai vécu des journées et des nuits difficiles, 6 mois de thérapie qui n’ont rien donné et des visites que je croyais inefficace chez le kinésiologue, celui-là-même qui m’aidait pourtant tellement depuis tant d’années. Et puis un beau jour, 2 ans pile-poil après un événement très traumatisant pour moi, mon corps a enfin commencé à parler. Et j’ai vu un petit changement. Toujours très peu de sommeil, mais moins d’angoisse. Mon kinésiologue m’a donné rendez-vous un mois plus tard en disant que d’autres choses devaient sortir. Séance très fructueuse, genre l’ampoule qui s’allume, l’idée lumineuse. Et depuis je recommence à avoir des nuits normales. Tant mieux, parce que la naissance de bébé2 approche et on ne sait pas comment il dormira celui-là:-)
    Tout ça pour vous dire que la kinésiologie, c’est un truc à tenter, vraiment!

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  15. Bonsoir,
    Je n’ai pas fait de nuit complète depuis 18mois… je suis épuisée… je cherche des solutions de tous les côtés car on en peut plus! On a essayé la micro kiné, sur moi, sur ma fille, mais sans succès… La description faite de la kinesiologie semble être la même que la micro kinésithérapie. Savez-vous si c’est la même technique ?
    Je suis prête à tout essayer… J’ai besoin d’aide…
    En tous cas, votre blog me fait me sentir moins seule, merci.

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    1. Je ne suis personne pour donner conseil, je suis juste une maman qui était aussi à bout de fatigue. Ma solution à moi: aller dormir avec mon Hibou (19 mois) dans le clic-clac du bureau dès qu’il y a plus de 3 réveils en 3 heures. On ne dort pas forcément (souvent quand même) mais au moins on est allongés tous les deux, s’il a besoin de tétine je la lui redonne sans même avoir besoin de bouger, s’il a soif, avant je soulevais mon t shirt, maintenant je tend le bras etc etc Tout ça pour dire que même s’il y a autant de réveils je suis moins usée. Je te prête ma solution, si tu ne l’as pas déjà essayée, en espérant t’aider.

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  16. Tout pareil avec un bonheur à nuits hachés de bientôt 24 mois! On a eu la même typologie de nuits et les mêmes commentaires et demandes de tout le monde « vous laisse-il dormir? » Enfin bref, je me demandais aussi si la micro kinésithérapie et la kinésiologie fonctionnaient de la même manière? En tout cas à leur description thermique ça y ressemble!

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  17. Bonjour, depuis bientôt 3 ans, l age de ma fille Margot on ne dort plus…On a tout essayé (ostéopathie, homéopathie,déplacer le lit, cacher ce qui pourrait lui faire peur la nuit comme les peluches, enlever la sieste et la kinésiologie….).
    Puis on a décidé de ne plus rien faire,attendre que ça passe…moi aussi je me suis demandait si elle avait un problème de santé mais non elle va très bien et heureusement…c est long quand on dort pas pratiquement toutes les nuits,aller bosser (je suis infirmière) avec une nuit blanche derrière et de ne plus dire aux collègues pourquoi… Car en effet depuis le temps dire que ma fille ne fait toujours pas ses nuits on a l air anormaux et on nous conseils des trucs basiques qu on a forcement fait!!!!
    Et le couple…forcement c est difficile de s entendre et d être de bonne humeur quand on dort pas…surtout quand on est une bonne dormeuse comme moi…
    Puis malgré des nuits courtes Margot est pleine de vie la journée avec caprices etc , ce serait tellement plus simple d être patiente , de bien réagir et de pas s énerver si on dormait la nuit…
    La pédiatre nous dit toujours la même chose réduire les siestes…ce qu on essayé…puis bon courage…
    Votre blog m a fait du bien également en me levant ce matin…même si on le sait ça rappel que l on est pas seul 🙂
    Voilà mon vécu, on espère peut être qu avec l école en septembre ça ira mieux 😉

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  18. Ma fille n’a pas fait ses nuits (et je parle de 3 réveils minimum par nuit, jusqu’à 6) jusqu’à ses 13 mois, ensuite il y a eu des rechutes jusqu’à ses 2 ans et demie, et quand elle a enfin commencé à dormir à peu près d’une traite, c’est moi qui ai arrêté de dormir. 3 ans d’insomnie chronique, à refuser inconsciemment de m’endormir puisque mon cerveau avait tellement pris l’habitude d’être réveillé en sursaut qu’il a probablement jugé qu’il valait mieux ne plus s’endormir. J’ai essayé la psychiatrie, la psychothérapie comportementaliste, l’ostépathie, l’hypnose, j’ai consulté un spécialiste du sommeil, sans résultat.
    Alors être philosophe avec le sommeil perturbé et perturbant de nos tout-petits, dans l’absolu c’est bien, mais les ravages du manque de sommeil des parents se paient parfois ensuite pendant des années … sur la vie sociale, professionnelle, amoureuse, c’est fou comme on n’est plus la même personne quand on dort 3 ou 4h par nuit maxi. Je ne redors correctement que depuis que je suis enceinte du deuxième et je croise les doigts pour ne pas rechuter une fois que ce dernier se sera régulé au niveau du sommeil, sinon c’est un coup à finir sous Zopiclone pour le restant de mes jours. Je note la solution du kinésiologue, pour le bébé à venir … mais surtout pour moi 😉

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  19. Ah, super merci pour cet article! Nous avons aussi été voir une kinésiologue (nous devons encore y retourner une fois) et même si ma fille se réveille toujours la nuit, je la trouve plus apaisée. Nous avons aussi été voir un magnétiseur et ça a aussi semblé l’aidé (et aussi pour ses otites mais reste à voir sur la durée).
    Après, ma fille n’a jamais fais de nuits complète (sauf 2 fois, assumé par la douleur ! ) donc j’ai toujours gardé le rythme, mais c’est vrai que ça va par vague. Un à deux réveils par nuits quand tout va bien à beaucoup plus à d’autres périodes 🙂

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  20. Pfff, n’importe quoi…si le gamin n’a pas le choix en comprenant que personne ne ce lève lorsqu’il chourine pour un rien forcément vous vous taper des bonnes nuits de merde. C’est une éducation, une autre que la votre en tout cas…Pas celle de l’enfant roi et il ne nous aime pas moins pour autant. Les pleurs lorsqu’il est malade sont reconnaissables. Mon premier fils à 3 ans, il a fait ses nuits au bout de 2 semaines. Il ne chouine pas pour un rien que ce soit pour aller ce coucher, dormir et attendre qu’on vienne le chercher le matin. Mon deuxième est exactement pareil. C’est juste une question d’éducation et de comportement des parents.

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    1. Si ça vous rassure de le croire … méfiez-vous quand même si vous faites un 3ème enfant, vous tomberez de haut si par malheur il a un sommeil compliqué !

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  21. Que ça fait du bien de ne pas être seule et de ne pas être seule à penser ça! un livre que j’ai découvert il y a peu et qui m’a aussi fait beaucoup de bien: « dormir sans larmes » de Rosa Jove. CE livre devrait être imposé à tous les médecins, psy, nounou, sf, amis, parents…. qui nous disent qu’ils font des caprices et qu’ils faut « les laisser pleurer, ils vont bien finir par comprendre! »
    Merci à vous

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  22. Article à lire de bon matin quand à 23h en te couchant tu disais à ton homme « je ne veux pas la laisser pleurer, je veux être en accord avec moi-même, c’est trop dur pour mon cœur de maman et ce n’est pas bon pour elle » et qu’à 3h tu en as marre des réveils toutes les heures en hurlant, que même tes bras ne l’aide pas, que tu te prends des coups de pieds et des baffes quand tu la prends dans le lit, que tu commences à te dire « elle a un problème cette gosse c’est pas possible! » donc tu la laisses pleurer pcq t’en peux plus et que toi il faut que tu te reposes pour aller au boulot le lendemain, que les autres te disent « moi je le fais et mon enfant va bien », et qu’en fait tu pleures dans ton lit pcq ça te fait mal d’abandonner ton bébé… Alors papa prends le relais, lui donne un bain et un bib à 4h du mat et qu’elle dort jusqu’à 7h15 (c’est déjà ça)
    Merci de montrer qu’on n’est pas seule et que non ce n’est pas forcément qu’il y a un problème quand bébé ne fait pas ses nuits (surtout avec cette chaleur)!

    Au passage: bonne fête à toutes les mamans!!! :-*

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