Accompagner son enfant en conscience

Education bienveillante #1

Désolée pour mon absence la semaine passée, nous étions en province dans la famille. Entre le baptême de bébé Carrousel et les premiers préparatifs du mariage avec Papa Ours (entre autre, choisir le lieu et la date, rien d’important…), je n’ai pas pris le temps d’écrire ici ! Au passage, les nuits de Bébé Carrousel ont été tellement anarchiques pendant ce séjour qu’il m’était difficile d’aligner deux pensées cohérentes, si j’avais essayé de publier quoi que ce soit je pense que j’aurais perdu quelques lecteurs…

***

Je m’attaque aujourd’hui à un sujet dense et épineux : l’éducation bienveillante ! Vaste sujet, multiples facettes et débats houleux en perspective, je ne pourrais clairement pas parler de tout ce que je veux en un article. Pour cette fois, ce ne sera qu’une introduction à cette approche. Je n’ai d’ailleurs pas vocation à être exhaustive sur le sujet, ni à donner des conseils sur comment faire avec vos enfants ! D’une part car Bébé Carrousel n’a que 7 mois et je suis bien consciente que le gros de son éducation reste à faire… Mais surtout parce que l’éducation, c’est un sujet très personnel, intimement lié à sa propre enfance en tant que parent, et que quelque soit la façon de faire, la plupart du temps chaque parent fait de son mieux et avec amour. Forcément, je suis convaincue par l’approche Positive, donc je pourrais vous sembler « catégorique » dans ma façon de présenter les choses. Mais en aucun cas je ne juge ceux qui procèdent autrement, ceux qui appliquent les méthodes traditionnelles que je réfute, chacun fait comme il veut… et surtout comme il PEUT !! Je souhaite simplement vous parler de ce que j’ai découvert ces dernières années, ma vision des choses, la façon dont nous avons envie de procéder avec Bébé Carrousel. J’observe auprès des parents autour de moi qu’il y a énormément de frustration autour de l’éducation des enfants. J’ai le sentiment que beaucoup ne sont pas satisfaits de la façon dont ils procèdent, qu’ils se trouvent inefficaces… mais ne savent pas comment faire autrement. Et les discours et les injonctions qui entourent et effrayent les jeunes parents n’aident pas. Alors, si vous trouvez ici de bonnes idées à piocher, n’hésitez pas 🙂 En éducation bienveillante, on parle souvent de « semer des graines » auprès d’autres parents… libre à eux de les faire pousser et grandir !

parentalité positive bienveillance harmonie familiale

Education bienveillante, discipline ou parentalité positive… difficile de résumer et même de définir ce que l’on met derrière ces termes. Pour moi, c’est une façon d’aborder l’éducation un peu à contre courant de ce que l’on entend fréquemment. En effet, il faut accepter de casser un grand nombre d’idées reçues sur les enfants, notamment celle que, dès leur plus jeune âge, il sont sur cette terre pour faire CHI** leurs parents. Je suis un peu abrupte avec cette formulation, mais je suis toujours étonnée (pour ne pas dire choquée) de la distorsion qu’il y a entre l’amour inconditionnel que les parents portent à leur enfant, la joie et le bonheur qui accompagnent une naissance, la perception que les adultes ont du bébé (petit être fragile, dépendant, à protéger, etc), et les affirmations qui pleuvent concernant leur éducation (ce sont des manipulateurs, il faut les dresser dès le plus jeune âge sinon ils deviennent des tyrans, ils ont le pouvoir de bouffer les parents et font tout pour les contrarier, ils ne comprennent que les claques et les punitions, etc). De même, on présente souvent l’enfant comme menaçant, « attention si tu fais trop ceci ou cela, tu vas te faire bouffer », comme si c’était lui qui avait l’ascendant dans le rapport avec le parent. C’est pourtant tout le contraire; ‘enfant est fragile, vulnérable, influençable et malléable. Catherine Guegen explique en détail dans son livre, Pour une enfance heureuse, à quel point le cerveau du bébé est immature et ne termine sa maturation, pour certaines zones, qu’à la trentaine ! L’adulte peut donc très facilement le dominer, le manipuler, lui faire peur, le soumettre, le maltraiter. Notre cerveau est un organe plastique, c’est à dire qu’il est capable de remodelage, de développement de nouvelles connexions ou de suppression de circuits sous l’effet des expériences et cela durant toute la vie. La particularité de l’enfant est d’avoir une plasticité cérébrale beaucoup plus grande que l’adulte ; elle peut donc lui permettre d’évoluer favorablement ou défavorablement. Je ne dis pas qu’il n’y pas d’enfant tyran ou d’enfant roi, il y en a, mais ils ne naissent pas comme tel et ne le deviennent pas parce qu’on ne leur a pas mis de claque ou qu’on les a porté en écharpe !  Tout ceci pour dire que l’éducation bienveillante nécessite de se détacher des discours qui prévalent encore malheureusement en France, d’accepter de repartir de zéro, de se documenter sur le développement de l’enfant, de remettre en question des conseils et des préceptes qui se transmettent de générations en générations, de se remettre en cause en tant que parent, voire de remettre en cause l’éducation que l’on a reçu et ça ce n’est pas forcément évident. Il est toujours plus facile d’appliquer les conseils que l’on reçoit de sa famille, ses amis, sont pédiatres… et de ne pas se poser trop de questions ! Or, à mes yeux, le monde d’aujourd’hui n’a strictement rien à voir avec le monde d’hier et rien que pour cette raison, on ne peut plus appliquer les mêmes recettes éducatives en pensant que cela va fonctionner !

Comme l’analyse Jane Nelsen en ouverture de son livre, La discipline positive, aujourd’hui de nombreux parents et enseignants sont frustrés et déstabilisés par le comportement des enfants, bien éloignés des manières du « bon vieux temps ». Je vous le disais en introduction, je trouve que les parents autour de moi, dans la majorité, ne se « retrouvent » pas dans l’éducation qu’ils appliquent avec leurs enfants. J’ai le sentiment qu’ils appliquent une méthode par défaut tout en voyant bien que le résultat n’est pas celui escompté et qu’ils se sentent frustrés. Pourquoi le comportement des enfants d’aujourd’hui est-il si différent ?

Selon Rudolf Dreikus, psychiatre autricien, la première cause de ce changement est que les adultes ne sont plus pour les enfants des exemples de soumission et d’obéissance. Les parents et grands-parents d’aujourd’hui se plaignent du manque de soumission des enfants en oubliant qu’eux-même ne se comportent pas comme les générations précédentes. Les enfants soumis qu’on cite en exemple vivaient dans un monde où il était culturellement acceptable que la mère soit soumise aux décisions irrévocables du père, où le père en tant qu’employé obéissait aveuglément à son employeur, où les minorités acceptaient d’être soumises au mépris de leur dignité personnelle, etc. Aujourd’hui, il est difficile de trouver quelqu’un qui accepte une vie soumise ou qualifiée d’inférieure ; or les enfants ne font que suivre les exemples autour d’eux ! Ils grandissent aujourd’hui dans un monde égalitaire et ne réagissent plus comme les générations précédentes. Or, il reste difficile pour beaucoup de parents d’accepter de renoncer à leur ascendant sur leur enfant, de renoncer au pouvoir d’exiger qu’il fasse quelque chose uniquement parce que le parent l’a décidé et que l’enfant doit se soumettre à la volonté du parent.

Par ailleurs, aujourd’hui les enfants ont moins d’opportunité de développer le sens des responsabilités et la motivation. D’une part car nous n’avons plus besoin qu’ils participent activement à la vie économique et familiale, et d’autre part parce que le confort de nos vies actuelles et l’amour que nous leur portons nous amènent à leur donner trop, trop vite, sans qu’ils aient besoin de fournir un quelconque effort. C’est vrai d’un point de vue matériel (cadeaux, etc) mais aussi et surtout en terme de surprotection ; nous pensons qu’il est de notre devoir d’éviter toutes les déceptions à nos enfants, les privant ainsi d’opportunités de développer une confiance solide dans leurs capacités à faire face aux difficultés. Au-délà de cela, les enfants ont énormément besoin de participer et de contribuer ; en faisant à leur place, nous leur retirons l’opportunité de se sentir utiles et responsables. Plus que tout, nous aimerions que nos enfants soient suffisamment responsables pour agir de la bonne façon, au bon moment, dans le respect des besoins d’autrui ; cela ne s’apprend ni auprès de parents faisant preuve d’un excès de sévérité et de contrôle, ni auprès de parents permissifs ou surprotecteurs.

A mes yeux, la discipline positive remet donc en question le modèle traditionnel où le parent n’a que deux choix : l’autoritarisme (=voici les règles que tu dois suivre et voilà la punition que tu recevras si tu les respectes pas) et la permissivité (=il n’y a pas de règles. Nous allons nous aimer et être heureux et plus tard tu seras capable de choisir tes propres règles). En tant que jeune parent, on entend très souvent des conseils du type « Si tu fais/ne fais pas ça… Tu es foutue !« . Du coup, pour beaucoup c’est le déchirement ; faire le gendarme à toutes les occasions ? Profiter du peu de moment que l’on passe avec ses enfants et les laisser faire ? Au final, c’est généralement une alternance entre les deux approches, la permissivité jusqu’à ce que le parent soit à bout et éclate. Et l’enfant, que peut-il y comprendre à ces incohérences ?

La discipline positive est une approche fondée sur le respect mutuel et la coopération entre parent et enfant et s’appuie sur le principe de bienveillance et de fermeté simultanés. Les enfants et les parents établissent ensemble les règles qui seront les plus bénéfiques pour tous. C’est une alternative à cette dualité entre autoritarisme et permissivité.

  •  La bienveillance témoigne du respect du monde de l’enfant ; cela ne signifie pas céder aux demande des enfants, les protéger des frustrations, les gâter avec excès, intervenir à chaque instant (ces comportements relèvent de la permissivité). C’est en revanche connaître l’enfant et son développement notamment cognitif, reconnaître que certains comportements sont naturels et normaux pour un enfant, que certaines compétences ne s’acquièrent qu’avec le temps (par exemple, contrôler ses émotions, retenir ses gestes brusques, etc). C’est valider le ressenti attaché à un comportement, même si celui-ci est inapproprié : par exemple dire « je vois que tu es déçu/en colère/contrarié » à un enfant qui se roule par terre car on lui refuse un jouet. Mais on n’achète pas le jouet pour autant ! C’est aussi renoncer à toutes les formes de Violences Éducatives Ordinaires (VEO) : châtiments corporels de toutes natures ( oui, même la petite claque sur la main qui « ne fait pas mal »), menaces, punitions, manipulation et mêmes récompenses… J’en reparlerai en détails !
  • La fermeté représente le respect du monde de l’adulte. En effet, bien souvent les besoins des parents et des enfants s’opposent : nous voudrions du calme, une maison bien rangée, de bonnes grasses matinées, là où les enfants aiment le bruit, le désordre et se lever aux aurores pour jouer ! En tant que parent, il est important de connaitre ses propres limites et de les faire respecter, car pour être un parent bienveillant avec ses enfants il faut avant tout être bienveillant envers soi-même. Mais il s’agit d’être honnête avec son enfant ; si vous souhaitez qu’il se taise parce que vous avez envie de faire une sieste, pourquoi ne pas lui dire simplement « Je me sens fatiguée et j’ai besoin d’une sieste pour recharger les batteries et pouvoir jouer avec toi ensuite. Est-ce que tu veux bien m’aider s’il te plait let ire un livre ou faire un jeu calme dans ta chambre pendant que je me repose? » ? Plutôt que de détourner notre véritable besoin en le transformant en colère et en criant sur l’enfant qui fait du bruit avec ses jeux, alors qu’à d’autres moments on l’accepte sans problème ? Les enfants sentent les distorsion, les tentatives de manipulation, les mensonges..
  • Le respect des limites est important également pour que l‘enfant puisse faire l’apprentissage des compétences sociales dans un cadre sécurisant. Mais pour beaucoup, être ferme équivaut à punir, à faire la leçon ou à exercer une forme de controle (chantage, manipulation, récompenses…). C’est faux ! La fermeté, quand elle se conjugue avec la bienveillance, implique le respect de l’adulte, le respect de la situation et le respect de l’enfant. Je reviendrais dans un autre article en détails sur les différents outils qui sont utilisés en éducation bienveillante pour se substituer aux VEO.

Pour clore cet article sur un exemple un peu concret, je vais recopier ici un passage du livre de Jane Nelsen qui illustre l’approche bienveillante  :

***

Le Dr John Platt nous raconte le petit déjeuner de Jean, 3 ans, dans trois familles différentes.

Famille autoritaire :

Dans la famille autoritaire où la mère sait toujours ce qu’il faut faire, Jean ne peut rien choisir pour son petit déjeuner. Quand il pleut et qu’il fait froid, les mères directives du monde entier le savent toutes, un enfant à besoin de quelque chose de bien nourrissant. Mais Jean ne l’entend pas de cette oreille, il regarde son bol de céréales et dit « Beurk! j’en veux pas de ce truc! ».

Au siècle dernier, il était bien plus facile d’être une mère directive. Il aurait alors suffi de dire « Mange! » et Jean aurait obéi. C’est bien plus difficile de nos jours… Alors pour se faire obéir, la mère de Jean passe par les 4 étapes suivantes :

Etape 1 

La mère de Jean essaye de le convaincre en lui expliquant qu’il a besoin de ce bol de céréales pour avoir de l’énergie pour sa journée. « Ca te tiendra au corps ! ». Avez-vous déjà essayé de vous mettre à la place d’un enfant de 3 ans qui entend que son bol de céréales lui tiendra au corps ? Pas sûr qu’il soit très convaincu…

Etape 2

La mère de Jean tente alors de rendre les céréales plus appétissantes. Elle ajoute du sucre roux, des bananes, des raisins secs, du miel, du fromage blanc… Jean prend une deuxième cuillère et persiste « Beurk, c’est pas bon! ».

Etape 3

La mère de Jean essaye de lui faire prendre conscience de sa chance. Mais Jean, pense un peu à tous ces pauvres enfants qui meurent de faim en Afrique… Jean, toujours pas convaincu, répond : « si tu veux, tu peux leur envoyer ».

Etape 4

A bout de nerfs, la mère de Jean pense qu’il ne lui reste pas d’autre choix que de lui donner une leçon. Elle lui donne une fessée et lui dit qu’il aura faim et c’est tout. Pendant une demi-heure, elle est satisfaite de la façon dont elle a géré la situation, puis commence à culpabiliser. Que penseraient les gens s’ils savaient qu’elle n’arrive pas à faire manger son enfant ? Et s’il avait vraiment faim ?

Jean, pendant ce temps, est parti jouer dehors puis revient pour dire « Maman, j’ai vraiment faim ! »

Le moment est maintenant venu pour la mère de Jean de pratiquer la plus plaisante de toutes les morales, c’est du Je t’avais prévenu. Mais elle ne remarque pas que Jean regarde ailleurs en attendant qu’elle finisse son discours. Elle est très satisfaite de sa leçon de morale, elle a accompli son devoir et lui a montré que c’est elle qui avait raison. Elle lui donne un petit gâteau et le renvoie jouer. Pour compenser le déficit nutritionnel du petit déjeuner, elle file à la cuisine et lui prépare du poulet et des haricots. Je vous laisse imaginer le déjeuner !

Famille permissive

La scène suivante se déroule dans une maison permissive, où la mère est aux prises avec un enfant roi. Quand Jean entre dans la cuisine, sa mère lui demande : « Qu’est ce que tu veux pour ton petit déjeuner mon ange? ». Jean, après 3 années d’entrainement, maitrise déjà très bien la façon d’amener sa mère à satisfaire ses exigences. Il demande d’abord un oeuf à la coque. Sa mère doit en faire plusieurs avant d’arriver à en cuire un juste comme il aime. Il décide ensuite qu’en fait, il n’en veut pas et préfère des tartines de confiture.

Pendant ce temps, Jean regarde une publicité sur le « petit déjeuner des champions ». Il dit alors « Maman ! Je veux du miel sur mes tartines! ». Après une bouchée, il change d’avis et demande de la pate à tartiner. Sa mère n’en a pas et lui promet de s’en procurer dès le lendemain. Jean n’a même pas besoin de la culpabiliser, elle s’en charge elle même du matin au soir.

Ces histoires peuvent paraître exagérée, mais reflètent pourtant des situations réelles. Une mère m’a raconté que son enfant se nourrissait exclusivement de pain. Quand je lui ai demandé d’où venait ce pain, elle s’est exclamée  » Il faut bien que je lui en achète, puisqu’il ne mange rien d’autre! ». Les enfants élevés de façon permissive sont convaincus que le monde entier leur est redevable et passent plus de temps à essayer de fuir leurs responsabilités qu’à développer leurs capacités et à acquérir leur autonomie.

Famille discipline positive

Dans la famille Discipline Positive, on note d’ores et déjà deux détails d’importance. Jean suit sa routine du matin ; il est déjà habillé et son lit est fait (importance du cadre et des routines). Ensuite, Jean va contribuer de façon pratique au déroulement de la routine familiale. Il va, par exemple, mettre la table ou faire griller le pain.

Aujourd’hui, c’est le jour des tartines. La mère de Jean lui propose un choix limite : tu préfères des tartines au beurre ou à la confiture ? Comme Jean a aussi vu la publicité sur ce que mangent les grands athlètes, il choisit la tartine toute simple au beurre. Après une bouchée, il change d’avis et déclare : « Je n’en veux plus! ».

Sa mère lui répond « D’accord. Je considère que tu n’as plus faim. Va jouer dehors, on se verra pour le déjeuner ».

Vous aurez remarqué que la mère de Jean saute toutes les étapes par laquelle la mère autoritaire était passée. Elle lui donne simplement la possibilité de faire l’expérience des conséquences de ses choix. Deux heures plus tard, quand Jean dit à sa mère qu’il a faim, elle lui répond de façon respectueuse « Oui, j’imagine! ». Elle se dispense d’ajouter « je te l’avais dit » et à la place elle le rassure « Je sais que tu tiendras jusqu’à l’heure du déjeuner ».

***

A ce stade, l’auteur enchaîne sur d’autres outils (dont je n’ai pas encore parlé) dans le cas où Jean, peu habitué à la discipline positive, pique une colère. Je vous en parlerai la prochaine fois, c’est un peu le feuilleton de Jean ! Haha

J’ai énormément de choses à dire sur le sujet et cet article n’est vraiment qu’une introduction à la notion d’éducation bienveillante ! A ce stade, je pense que vous pouvez vous dire que c‘est bien joli tout ça, mais comment on fait pour être ferme si on ne peut pas punir ? Et pourquoi ce serait si mal que ça, le chantage, les punitions et les claques, on en a eu et on est pas morts ? Alors j’ai encore un tas de choses à dire, un tas de bouquin à conseiller à ceux que ça interesse, et je vous parlerai aussi de mon expérience personnel avec Bébé Carrousel. Elle a beau n’avoir que 7 mois, l’approche positive commence dès la naissance, alors je vous en reparle très vite !!

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3 réflexions au sujet de « Education bienveillante #1 »

  1. Bonjour,
    Maman depuis peu j’ai découvert votre blog qui me tient compagnie la nuit quand bébé a du mal à dormir. C’est grâce à lui que j’ai découvert l’éducation bienveillante et j’aimerai aller plus loin et lire quelques livres, quels sont les deux-trois ouvrages clefs que vous me conseilleriez pour commencer ?
    Merci beaucoup !

    Aimé par 1 personne

    1. Bonjour Marie, je prépare un article complet sur le sujet qui paraîtra ce mois ci ! Car j’ai eu plusoeurs fois les demandes en commentaires sur diffferents articles. Alors revenez vite par ici 😉

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