Voilà un long moment que j’ai délaissé le blog, à peine commencé… Mais c’est décidé, je m’y remets (ou plutôt je m’y mets, car ce n’est pas avec 4 articles qu’on peut dire que j’avais lancé le blog) et j’ai pleins de choses à vous raconter !

Et oui, entre temps j’ai enfanté dans la douleur accouché (je vous raconterais!) et j’ai maintenant des tonnes de choses à dire sur les premiers mois avec bébé… On va parler allaitement, sommeil de bébé (ou plutôt absence de sommeil), réveils nocturnes (et prises de tête avec le papa), kilos de grossesse & remarques de l’entourage… On va aussi parler parentalité positive et bienveillance, maternage, Montessori, pédagogies alternatives, et de toutes ces découvertes passionnantes que j’ai fait récemment en matières d’éducation ! En revanche, pour les petits DIY il faudra patienter un peu car ma machine à coudre et mes aiguilles à tricoter sont soigneusement rangées plusieurs mois !! Toutefois, je vous montrerai mes créations à l’occasion du baptême civil de Mademoiselle Caroussel.

 

 

Avant d’entrer dans le vif du sujet, laissez moi vous présenter les protagonistes :

– Moi-même, aka Maman Poule : 25 ans, un peu stressée sur les bords, a dévoré 72 livres de puériculture en 9 mois et a de ce fait toujours un bon conseil théorique tiré d’un bouquin à apporter aux copines, mais ne sait pas par quel bout commencer quand il s’agit de son propre bébé (foutues hormones). Dans une autre vie, Maman Poule travaille comme consultante (vous ne tenez pas à savoir exactement en quoi ça consiste…) après s’être consacrée  pendant un an à 100% à Bébé Carrousel (et tant pis si on ne mange plus que des pâtes). La famille, c’est la vie, voilà la devise de Maman Poule (et le chocolat, aussi). Maman Poule traîne derrière elle une lourde réputation de chieuse ; avec elle, on ne fait pas ce qu’on veut, quand il s’agit de Bébé Carrousel elle a tout un tas de princ

Et toute la famille « Poule » : Mamie Poule, Papi Poule & Belle Mamie (papi et mamie sont divorcés), Tonton Goth’ et Tonton Glam’

– Papa Ours : 27 ans, pas du tout stressé sur les bords, adepte du qui vivra verra, on verra quand on y sera et on verra ça à la dernière minute (et tant pis si du coup on y voit rien du tout) ! Papa Ours bosse dans l’informatique et nous complique bien la vie avec un emploi du temps qui varie tous les jours (en + il n’a même pas d’ordi gratuit, l’arnaque). Sous un petit air un peu bourru et un gros côté râleur, Papa Ours est en fait un gros nounours 100% gaga de sa fille et de sa femme, qui peuvent tout lui demander, sauf de décoller de la télé les soirs de match du PSG (et de faire les courses sans liste, ça c’est la débâcle assurée). Un papa moderne quoi, qui change les couches, fait gouzigouzi mais qui mange des steaks et boit de la bière, faut pas déconner !

Et toute la famille « Ours » : Mamie Ours et Papi Ours (qui sont des grands parents poule, mais là on ne s’y retrouve plus!), Tata & Tonton Ours et leur fils Couz Ourson..

– Mademoiselle Carrousel : notre merveilleuse fille née le 14 février 2015. Adepte du mouvement perpétuel, Bébé Carrousel contribue au renforcement physiquement de ses parents qui doivent la bercer et la hocher en toutes circonstances.  Elle trouve que dormir, c’est une perte de temps et se contente du minimum nécessaire à la préservation de ses fonctions vitales (les nôtres par contre, elle s’en fou). Rebelle dans l’âme (c’est son thème astral qui le dit!), elle ne comprend pas qu’il faille tous les jours se faire passer les bras dans des manches, se faire nettoyer le nez et avaler du Gaviscon après les tétées, et proteste vigoureusement contre ces aberrations de la société. Mais avec son sourire ravageur, ses joues rebondies et son petit nez en trompette, elle peut tout se permettre… Serial téteuse, sa devise à elle : téter (et péter) c’est la vie !

Exilés loin de nos familles depuis plus de trois ans, nous vivons tous les trois en banlieue Parisienne (non pas qu’on adore attendre 20 minutes le RER bondé tous les matins, mais vu le prix des loyers…) et expérimentons au quotidien les joies et les tracas de la vie « en ville », comme on dit chez nous…

On se retrouve très vite !